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Le 27 mai nous coffrons le haut du pillier existant afin qu'il soit plat, ce qui nous permettra par la suite de mettre les cubes.

Ensuite nous coulons les deux marches, une dedans et une dehors.

Puis nous posons 3 cubes sur l'arrasée afin que le pilier soit à la même hauteur que ceux du portail.

Puis Steph se remet à la ferronnerie pour fabriquer le portillon. Comme pour le portail il utilise des morceaux du portillon que l'on avait déjà. Une fois fini, il sera dans le même style que le portail.

Le fronton portera la date d'achat de la maison, 2010.

Le 16 juillet après avoir installé le fronton, nous installons le portillon.

Et voici l'ensemble fini...

Il ne nous restera plus qu'à crépir les pilliers... un autre jour !

Le 7 mai, Steph s'attaque à la réalisation du fronton du portail.

Pour cela il va utiliser deux longueurs de tube carré de 30.

Voulant que notre Fronton ressemble à ceux du siècle dernier, Steph recycle les volutes des deux portails que nous avions, et réalise nos initiales. Ces dernières vont se retrouver au centre du bandeau.

Il ajoute de part et d'autre des volutes "champignon" elles aussi récupérées et un fer plat qui servira de butée (pour éviter que le portail ne se rabatte à l'intérieur).

Il ne restent plus qu'à souder et à polir. On n'oublie pas de percer les axes sur la barre du bas pour faire tenir les vantaux.

Le 8 mai, une couche de peinture finit le tout, selon l'adage de la marine : peinture sur M... = propreté

Petit retour en arrière nous sommes le 7 avril 2012.

Comme il fait beau et pas trop chaud nous en profitons pour couler les piliers de notre futur portail, le L200 fait un super échafaudage...

Puis nous commençons à couler la semelle de la première jambe de force destinée à soutenir le mur de clôture...

Pour ceux qui ne le savent pas, la jambe de force va éviter que le mur en pierre tombe

Le 31 mars, Steph attaque le portail.

Vu que nous aimons les portails fin XIX°, et qu'il faut gagner au loto pour en acheter un, il a décidé de le faire lui même. Pour cela  il va utiliser deux portails pour le réaliser. Le premier nous a été gentillement donné par Milou, le deuxième a été acheté sur le bon coin à 200 € (une vrai ruine).

Après avoir acheté en plus quelques profilés au distributeur de gros. Steph s'y met.

Il commence d'abord à mettre à nu le portail acheté afin d'en conserver le cadre. Puis il commence à le modifier.

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(ce qui est en noir sur la photo a été ajouté en vert, c'est le portail acheté).

Puis il ajoute les barreaux.

Le dimanche 1 avril sur un, il ne manque qu'un seul barreau (non mis par manque de matériel )

Nous en avons donc profité pour commencer la semelle du portail. Après avoir un peu creusé, nous mettons de la ferraille.

Quand nous avons voulu couler la semelle le moteur de la bétonnière nous a rendu l'âme.

Steph que nous allons bientôt appeler Mac Gyver recupère le moteur électrique d'un appareil à rouler la pate à pizza (machine achetée avec un lot de matos de cuisine qui trouvera sa place quand la maison en sera là)  et le met à la place de celui de la bétonnière qui a maintenant un moteur en inox, wazaaaaa bétonniere de luxe !!!.

Nous remplissons la bétonnière. Mais comme nous avons quelques soucis de courroie (lisse au lieu de crantée) Syl aide la bétonnière à tourner quand elle patine. Nous coulons enfin la semelle.

Finalement après quelques recherches, Stef a adapté une poulie rainurée d'alternateur soudée à l'axe du moteur, la bétonniere tourne juste un peu plus vite qu'avant, mais ne patine plus, la courroie ne saute plus, et on peux donc envisager encore quelques mètres cubes de béton :oD... avantage qu'elle tourne plus vite... plus de grumeaux dans le mortier, ceux ci explosent à la place de "flotter"... yeahhhhhh

prochain article, le portail fini, mais pas encore posé !!!

Première semaine des vacances de février, qui ne va pas vraiment en être une. Nous avons décidé de sortir les gravats. C'est pas gagné.

Le 27 février nous avons loué une pelleteuse et une brouette à chenilles. Steph remplit la brouette avec la peleteuse et Sylvie fait le tour de la maison pour déposer les gravats, délicatement dans le jardin.

Nous sommes ralentis dans notre élan par une pelotte de ferraille qui est restée sur les gravats. Sylvie les coupe sur les conseils de Stéph.

Etant toujours aussi chanceux, le moteur de la brouette a décidé de cesser de vivre le second jour . Après un appel désespéré au loueur, il nous l'échange contre un bon gros bobcat. Sylvie a elle aussi un nouveau super méga jouet.

En même temps, comme ça ne va pas assez vite au goût de Steph, on utilise aussi le camion pour finir de déplacer les gravats dans le jardin. Mais là c'est Steph qui conduit et la pelleteuse et le camion.

Ainsi au 2 mars, nous avons un joli monticule dans le jardin de presque 40 mètres cube de gravats. Il nous en restait environ 5  camions dans la cave, qui sortirons la prochaine fois, trop crevé, trop tard, trop plus envie...

Le 2 mars nous re-louons une pelleteuse plus grosse, celle de 5 tonnes, pour enfouir tous ces gravats... et avoir un terrain plat et drainé.

Nous déplaçons même la caravane, que nous avons réussi à vendre, cela avec l'aide de la pelleteuse, sous le regard des filles et de nany.

Avant de partir pour une semaine de repos "bien méritée" à la montagne, le terrain est pratiquement plat.

On ne s'était pas trompé dans l'évaluation, 1 jour pour les sortir, un jour pour les enfouir...